Elles sont quatre jolies filles, super bien foutues. Elles exercent leur métier dans un petit immeuble de 3 étages, dans le centre ville de Lausanne. L’entreprise est inscrite au registre du commerce dans la catégorie « santé et cosmétique ». Cela fait d’ailleurs bien rire les filles car des cosmétiques, elles n’en vendent jamais.
Les appartements sont spacieux et cosy. Impossible aussi de compter le nombre incroyable de miroirs ! Dans chaque appartement, il y a une grande salle de bain, une chambre bien agencée avec une décoration de bon gout. Dans l’un des apparts, il y a une croix rouge accrochée au mur et des chaines pendent de l’agrée. Certainement la pièce pour les fantasmes sado. Il parait que les clients sont de moins en moins demandeurs du sexe avec douleur. Pis, la maison préfère le calme.
Lorsque l’on n’est pas au courant, il est impossible de remarquer ce salon de massage érotique Lausanne. Les filles n’occupent jamais la rue et toutes les prestations sont réalisées dans la plus grande discrétion. Le salon est finalement comme n’importe quelle entreprise libérale.
La clientèle est plutôt aisée et ne se gène pas de lancer des billets de deux cent comme un DAB qui perdrait la tête.
Tout commence par un rapide massage au monoï puis les mains se font plus insistantes. La liste des prestations sexuelles autorisés est quasiment sans limite mais le dernier mot appartient toujours à l’hôtesse.
Certains hommes ont le désir de voir la fille avec une petite jupette d’écolière et d’autres à l’inverse préfère une femme autoritaire. Pour être performant au lit, il faut de toute façon savoir jouer la comédie.
Les jeunes femmes du salon de massage érotique de Lausanne sont finalement comme des assistantes sociales du sexe. Il y a fort à parier que sans elles beaucoup de femmes se feraient violer. Si on bannit les maisons closes, ce serait d’ailleurs un peu comme interdire à un sidaïque de suivre son traitement.
Une séance de massage érotique dure entre 15 minutes et une nuit. Tout dépend du porte feuille du client. Ici, tous les clients sont traités de la même façon. Beaucoup d’hommes pensent que parce qu’ils sont élégants et réguliers, ils ont droit à un rabais dit Katya. Que le client s’appelle Di Caprio ou Bernard, son traitement est identique.
Pendant qu’on parle avec les filles, le téléphone et le site internet sont en pleine activité. Sara nous dit qu’elle vend des massages érotiques seulement sur rendez-vous. Il est aussi assez fréquent que le client se désiste au dernier au moment sans avertir. En outre, les prix sont expliqués à l’avance. Tout est réglo.
Le nombre de clients varient entre deux et dix par jour et le client est souvent un homme marié. Il n’est pas rare que le client tombe à moitié amoureux de la masseuse et lui envoie des petits mots tendres ou bien réagisse avec un allongement du penis…. Une autre histoire…